Queen Adreena
La Maroquinerie (Paris)
Vendredi 16 janvier 2009
S'il y a bien un groupe qui tourne régulièrement dans notre beau pays, c'est Queen Adreena. Après avoir fait une infidélité à la Maroquinerie en passant au Trabendo en mai 2008, les voilà de retour dans le 20ième arrondissement pour ce qui est mon premier concert de l'année 2009.
Ayant voulu échapper à une première partie qui ne motivait guère, j'ai patienté en sirotant quelques tièdes Duvel dans une Maroquinerie bien pleine en ce vendredi de janvier. C'est donc fort "joyeux" que je rentre dans la salle où le concert ne tarde pas à démarrer devant un public nombreux.
Le groupe monte sur scène, tout de blanc vêtu, et se lance dans un In Red rageur. Je remarque que le batteur n'est plus le même mais il garde la même puissance de frappe (sans grande finesse il faut bien le dire).
Katie est quant à elle vêtue d'un pittoresque ... euh .. vêtement en plastique, proche du sac poubelle, qui lui va cependant à ravir et monte régulièrement sur la chaise qu'elle trimballe depuis des années et qui sert de promontoir à son jeu de scène exubérant. Elle aspergera d'ailleurs le public de vin rouge sortant d'une bouteille coincée entre ses jambes. J'imagine qu'on peut y trouver une certaine symbolique...
Les morceaux s'enchaînent, énergiques et "rentre dedans", que ce soit avec le toujours efficace Medicine Jar ou une version très réussie de Pretty Like Drugs. Crispin est lui aussi en forme et sort de sa jolie Firebird Epiphone quelques riffs punks bien sentis. Le groupe ne se calmera que le temps d'un agréable morceau acoustique, sans batterie.
Un bon concert donc. Pour l'anecdote on pourra parler de l'abruti venu rythmer la soirée en montant sur scène de façon plutôt violente pour nous gratifier du déballage de sa toute petite bistouquette.
La Maroquinerie (Paris)
Vendredi 16 janvier 2009
S'il y a bien un groupe qui tourne régulièrement dans notre beau pays, c'est Queen Adreena. Après avoir fait une infidélité à la Maroquinerie en passant au Trabendo en mai 2008, les voilà de retour dans le 20ième arrondissement pour ce qui est mon premier concert de l'année 2009.
Ayant voulu échapper à une première partie qui ne motivait guère, j'ai patienté en sirotant quelques tièdes Duvel dans une Maroquinerie bien pleine en ce vendredi de janvier. C'est donc fort "joyeux" que je rentre dans la salle où le concert ne tarde pas à démarrer devant un public nombreux.
Le groupe monte sur scène, tout de blanc vêtu, et se lance dans un In Red rageur. Je remarque que le batteur n'est plus le même mais il garde la même puissance de frappe (sans grande finesse il faut bien le dire).
Katie est quant à elle vêtue d'un pittoresque ... euh .. vêtement en plastique, proche du sac poubelle, qui lui va cependant à ravir et monte régulièrement sur la chaise qu'elle trimballe depuis des années et qui sert de promontoir à son jeu de scène exubérant. Elle aspergera d'ailleurs le public de vin rouge sortant d'une bouteille coincée entre ses jambes. J'imagine qu'on peut y trouver une certaine symbolique...
Les morceaux s'enchaînent, énergiques et "rentre dedans", que ce soit avec le toujours efficace Medicine Jar ou une version très réussie de Pretty Like Drugs. Crispin est lui aussi en forme et sort de sa jolie Firebird Epiphone quelques riffs punks bien sentis. Le groupe ne se calmera que le temps d'un agréable morceau acoustique, sans batterie.
Un bon concert donc. Pour l'anecdote on pourra parler de l'abruti venu rythmer la soirée en montant sur scène de façon plutôt violente pour nous gratifier du déballage de sa toute petite bistouquette.
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